Le Reïki

Le mot Reïki signifie "Force ou Energie Universelle de Vie".  Le Reï signifie "Esprit Universel, transcendant, âme", le Ki signifie"Energie de la Force de Vie".

 

Le Reïki est une thérapie énergétique par imposition des mains qui permet d'accéder à un calme intérieur favorisant une meilleure conscience de soi.

 

Il s’agit d’une pratique dans un but de bien être, de ressourcement, de développement personnel. C'est un outil de travail systémique opérant dans des dimensions non mentales.

 

Le Reïki est une pratique pour :

  • travailler sur les aspects somatiques des signaux physiques
  • faire une introspection sans verbaliser ou sans mentaliser
  • rétablir plus de calme et de sérénité
  • intégrer le corps dans un travail psychothérapeutique.

 

Il agit pour chacun en fonction de ses besoins profonds et de ses priorités. A plus ou moins long terme on constate des modifications de notre vie et de nos relations pour aller vers plus d'harmonie et de bien-être, ainsi que le développement de l'intuition et de la confiance en soi. Aussi n'y a-t-il rien à attendre, mais tout à accueillir.

 

Cependant, voici une liste non exhaustive de ce qui nous motive, ce qui nous conduit au Reïki et qui pourra éventuellement être soulagé :

 

  • Des douleurs physiques
  • Des émotions ingérables (colères, mélancolie...)
  • Des migraines
  • Des insomnies
  • Des phobies
  • Des dépressions
  • Un mal être
  • Un besoin de vitalité
  • Un besoin de calme
  • Une stimulation de sa créativité
  • Un accompagnement de psychothérapie
  • La recherche d'une pratique spirituelle
  • La recherche d'un outil d'entretien de sa santé
  • La recherche d'un outil d'entretien de son bien-être

 

Le  Reïki est désormais largement répandu dans le monde. Ceux qui le pratiquent ne sont pas des experts en guérison mais deviennent plus conscients des processus qui les y mènent.

 

C'est un Japonais du nom de Mikao Usui (1865 à 1926) qui a formulé les bases de ce qui allait devenir le Reïki dans le Japon du début du XXe siècle.

 

On raconte que c'était un théologien chrétien qui enseignait à l'université, et que sa quête aurait commencé après que ses étudiants lui eurent demandé qu'elle était, exactement, la technique de guérison à laquelle avait eu recours Jésus-Christ pour faire les miracles que rapportent les Evangiles.

Toutefois, dans une synthèse d'études publiée en mars-avril 2003 dans la revue Alternative Therapies in Health and Medicine, on explique plutôt qu'Usui a d'abord été envoyé très jeune dans un monastère bouddhiste, puis qu'il a étudié les arts martiaux. Il aurait aussi côtoyé un érudit japonais converti au christianisme, mais n'aurait pas été lui-même diplômé en théologie. La référence au christianisme viendrait d'une erreur, volontairement introduite par Hawayo Takata, qui fut la première à vouloir faire connaître cette discipline en Occident.

 

Au Japon, l'enseignement de Mikao Usui a été formalisé par un de ses étudiants, Chujiro Hayashi, qui aurait reçu, juste avant la mort de son maître (1926), le titre de « Grand Maître de Reïki ». Il aurait aussi reçu d'Usui l'autorisation de mettre l'accent sur les aspects thérapeutiques du Reïki en les isolant de l'ascèse et de la pratique spirituelle.

 

En 1937, le Reïki est introduit en Occident, à Hawaï, par Hawayo Takata, qui était passée par la clinique qu'Hayashi avait ouverte à Tokyo afin de se faire soigner pour des problèmes respiratoires et abdominaux. Enchantée des résultats, elle étudia auprès du maître, puis de retour à Hawaï, elle y ouvrit sa propre clinique. Elle mourut en 1980, après avoir formé 22 maîtres de Reïki en Amérique du Nord.

Dès lors, la technique s'est répandue dans la majorité des pays occidentaux.

 

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